Kariata Diaby, nouvelle ambassadrice du basket ivoirien en WNBA

Le : mai 20, 2025

Sommaire

Le basket féminin africain franchit une nouvelle étape dans le monde du transfert. La Côte d’Ivoire sera une fois de plus représentée dans l’élite mondiale grâce à Kariata Diaby. L’intérieure, auteur d’une saison exceptionnelle en France, vient de franchir un cap majeur dans sa carrière en intégrant le camp d’entraînement du Connecticut Sun. Cette annonce confirme la place croissante des talents africains sur les parquets de la WNBA, ligue de référence du basketball féminin. Retour sur le parcours de celle que l’on surnomme « KD », désormais en route pour les sommets.

Une saison remarquable en France

Couronnée MVP du championnat français 2024-2025, Kariata Diaby a marqué les esprits sous les couleurs du Tango Bourges Basket. À 29 ans, l’intérieure ivoirienne a brillé par sa régularité et son impact dans la raquette. Avec une moyenne de 14,4 points, 7,4 rebonds et 2,3 passes décisives par match, elle a su s’imposer comme l’une des joueuses les plus complètes de la saison. Sa performance s’inscrit dans la continuité de son titre de championne de France obtenu un an plus tôt avec Villeneuve-d’Ascq, dont elle avait également été élue MVP des finales.

Une nouvelle aventure au plus haut niveau

Forte de ses exploits sur les parquets européens, Diaby a été conviée au camp d’entraînement du Connecticut Sun, l’une des franchises phares de la WNBA. Ce passage aux États-Unis représente une étape déterminante dans sa carrière. Officiellement annoncée le 13 février 2025, son intégration à l’effectif de préparation témoigne de l’intérêt croissant que suscitent les joueuses africaines dans la ligue nord-américaine.

Un effectif tourné vers l’international

Sous la houlette du nouvel entraîneur Rachid Meziane, le Connecticut Sun adopte une politique de diversification en misant sur des profils venus d’horizons variés. Kariata Diaby rejoint ainsi le camp aux côtés d’Amy Okonkwo, internationale nigériane, dans une dynamique où la complémentarité des talents prime. L’objectif du staff est clair : bâtir un groupe compétitif capable d’apporter une nouvelle énergie à la franchise, comme en témoigne leur récent match d’ouverture face aux Washington Mystics, disputé le 18 mai dernier.

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Rachelle Gagnon

Spécialité : Rédactrice web polyvalente (Canada)

Depuis 10 ans, je suis rédactrice web polyvalente, mettant mes compétences au service des internautes et des entreprises. Je rédige des articles de blog, des textes pour des pages web, des newsletters, des descriptions de produits, et bien plus encore. À chaque projet, je m’assure de produire des contenus captivants tout en respectant les normes du référencement. Actuellement, je collabore avec un de mes partenaires pour rédiger des articles sur le sport, en particulier sur les actualités et les paris sportifs.

Kariata Diaby, nouvelle ambassadrice du basket ivoirien en WNBA

Le basket féminin africain franchit une nouvelle étape dans le monde du transfert. La Côte d’Ivoire sera une fois de plus représentée dans l’élite mondiale grâce à Kariata Diaby. L’intérieure, auteur d’une saison exceptionnelle en France, vient de franchir un cap majeur dans sa carrière en intégrant le camp d’entraînement du Connecticut Sun. Cette annonce confirme la place croissante des talents africains sur les parquets de la WNBA, ligue de référence du basketball féminin. Retour sur le parcours de celle que l’on surnomme « KD », désormais en route pour les sommets. Une saison remarquable en France Couronnée MVP du championnat français 2024-2025, Kariata Diaby a marqué les esprits sous les couleurs du Tango Bourges Basket. À 29 ans, l’intérieure ivoirienne a brillé par sa régularité et son impact dans la raquette. Avec une moyenne de 14,4 points, 7,4 rebonds et 2,3 passes décisives par match, elle a su s’imposer comme l’une des joueuses les plus complètes de la saison. Sa performance s’inscrit dans la continuité de son titre de championne de France obtenu un an plus tôt avec Villeneuve-d’Ascq, dont elle avait également été élue MVP des finales. Une nouvelle aventure au plus haut niveau Forte de ses exploits sur les parquets européens, Diaby a été conviée au camp d’entraînement du Connecticut Sun, l’une des franchises phares de la WNBA. Ce passage aux États-Unis représente une étape déterminante dans sa carrière. Officiellement annoncée le 13 février 2025, son intégration à l’effectif de préparation témoigne de l’intérêt croissant que suscitent les joueuses africaines dans la ligue nord-américaine. Un effectif tourné vers l’international Sous la houlette du nouvel entraîneur Rachid Meziane, le Connecticut Sun adopte une politique de diversification en misant sur des profils venus d’horizons variés. Kariata Diaby rejoint ainsi le camp aux côtés d’Amy Okonkwo, internationale nigériane, dans une dynamique où la complémentarité des talents prime. L’objectif du staff est clair : bâtir un groupe compétitif capable d’apporter une nouvelle énergie à la franchise, comme en témoigne leur récent match d’ouverture face aux Washington Mystics, disputé le 18 mai dernier.
Le Canada, terrain d’expansion pour la WNBA

En mai 2025, la WNBA a posé ses valises pour la seconde fois de son histoire au Canada, consolidant son ambition d’élargir son rayonnement au-delà des États-Unis. Deux ans après un premier coup d’essai réussi à Toronto, où le Scotiabank Arena avait affiché complet en quelques heures, la ligue est revenue avec une nouvelle rencontre d’avant-saison, portée par l’enthousiasme d’un public déjà conquis. Cette nouvelle étape a confirmé la stratégie d’ouverture internationale de la ligue, qui voit dans le marché canadien un terreau fertile pour son développement futur. L’exclusivité rencontrée en 2023 avait laissé entrevoir un potentiel immense, et la réussite de l’édition 2025 a renforcé cette impression. Un affrontement de haut niveau dans la métropole québécoise C’est à Montréal, dans l’enceinte du Centre Bell, que s’est tenue cette deuxième rencontre. Ce lieu emblématique, connu pour accueillir les matchs du Canadien en Ligue nationale de hockey, s’est transformé pour l’occasion en temple du basket-ball féminin. Le 5 mai 2025, deux formations majeures du championnat, les Sparks de Los Angeles et le Storm de Seattle, se sont affrontées sous les yeux d’un public nombreux et enthousiaste. C’était la première fois qu’une rencontre de la WNBA se déroulait au Québec, une avancée significative pour la visibilité du sport féminin dans la région francophone du pays. Ce match a représenté bien plus qu’un simple événement sportif : il a symbolisé une ouverture vers de nouveaux publics, une reconnaissance du dynamisme local et une volonté claire de tisser un lien durable avec le Canada, en particulier avec ses communautés passionnées de basket-ball. Perspectives de développement pour un projet d’envergure Le choix du Canada n’est pas anodin. Le pays connaît depuis plusieurs années une croissance exponentielle du basket-ball, notamment chez les jeunes. Plusieurs raisons motivent cette orientation : La popularité grandissante de la NBA et de la WNBA au nord de la frontière ; L’essor des talents canadiens dans les circuits universitaires américains et professionnels ; Des audiences solides et croissantes lors des diffusions télévisées de matchs WNBA. Le match de 2023 avait été un test concluant, avec une ambiance électrique à Toronto et une mobilisation massive du public, des médias et des sponsors. L’objectif à long terme est clair : préparer le terrain pour une future équipe WNBA à temps plein basée au Canada. Les amateurs de basket-ball trouvent sur 1xBet une plateforme particulièrement riche, mettant en avant les tournois féminins ou les championnats nationaux, y compris ceux disputés à l’échelle locale. Par ailleurs, d’autres options de divertissement attirent une communauté plus large. Figures emblématiques et ancrage local renforcé Plusieurs joueuses canadiennes ont marqué ou marquent encore la WNBA, comme : Kia Nurse, passée par les New York Liberty et Phoenix Mercury, véritable ambassadrice du basket féminin au pays ; Natalie Achonwa, joueuse expérimentée des Minnesota Lynx ; Laeticia Amihere, jeune espoir et représentante d’Équipe Canada, récemment draftée en WNBA. La tenue d’événements WNBA au Canada renforce donc également la visibilité des joueuses locales et contribue à développer l’identité nationale du basket féminin. Ambition de croissance à grande échelle L’organisation des rencontres internationales s’inscrivait dans une stratégie plus large menée par la WNBA, dont l’objectif était d’étendre sa visibilité à l’échelle mondiale, de séduire de nouveaux investisseurs et partenaires médiatiques, ainsi que de mesurer le potentiel de certains marchés en vue d’une future implantation d’équipes permanentes. Dans cette logique, le Canada s’imposait naturellement comme une option crédible, aux côtés de villes comme Toronto, Montréal ou Vancouver, toutes considérées comme des candidates sérieuses pour accueillir, à moyen terme, une franchise officielle.
Sitraka Raharimanantoanina rejoint l’Élan Béarnais : un nouveau chapitre prometteur en Pro B

Le jeune basketteur malgache Sitraka Raharimanantoanina a officiellement rejoint l’Élan Béarnais Pau-Lacq-Orthez pour la saison 2024-2025. Ce club historique du basket français évolue désormais en Pro B, la deuxième division du championnat national. Le transfert a été confirmé le 19 juin 2024, marquant un tournant important dans la carrière du pivot originaire d’Antananarivo. Après une saison convaincante avec ALM Évreux, Sitraka s’offre une nouvelle aventure sous les ordres de l’entraîneur Mickaël Hay. À Pau, il espère franchir un cap supplémentaire dans sa progression personnelle et sportive. Un nouveau défi enthousiasmant Depuis son arrivée à Pau, Sitraka Raharimanantoanina affiche une motivation débordante. L’international malgache a exprimé sa fierté de rejoindre une institution aussi prestigieuse que l’Élan Béarnais. Il a déclaré être « très heureux de faire partie de ce projet ambitieux » et se dit impatient de débuter cette nouvelle étape. Il compte utiliser cette opportunité pour renforcer sa constance mentale ainsi que sa rigueur au quotidien. Son entraîneur, Mickaël Hay, partage également un enthousiasme certain concernant cette collaboration. Il souligne les qualités intrinsèques de son nouveau joueur : « Sitraka a déjà montré de belles choses, il est capable d’évoluer avec aisance balle en main et il excelle dans ses courses ». Pour Hay, l’objectif est clair : aider le jeune intérieur à gagner en maturité sur le terrain en instaurant un cadre de travail structuré, axé sur le développement à long terme. Un parcours déjà bien construit Né le 20 janvier 2001 à Antananarivo, Sitraka Raharimanantoanina mesure 2,06 m et évolue aux postes d’ailier fort et de pivot. Sa taille, combinée à une polyvalence rare, lui permet de s’adapter à différentes configurations de jeu. Formé à l’Élan Chalon entre 2021 et 2023, il a participé à la montée du club en Betclic Élite. Avec les Espoirs, il tournait à 16,5 points et 6,5 rebonds de moyenne, affichant un taux de réussite remarquable (56,5 % aux tirs). En équipe professionnelle, il assumait un rôle plus discret, avec 2,9 points et 1,9 rebond en moins de 9 minutes par match. C’est à ALM Évreux, lors de la saison 2023-2024, qu’il s’est réellement révélé. En 22,3 minutes de jeu en moyenne, il a inscrit 9 points par rencontre, capté près de 5 rebonds et réalisé 1,4 contre, confirmant son potentiel dans la raquette. Sur le plan international, Sitraka porte fièrement les couleurs des Ankoay, la sélection nationale malgache, depuis 2021. Il s’est distingué en février 2025 lors des qualifications pour l’AfroBasket, où il a établi un record avec 7 contres face à l’Égypte, contribuant à une victoire historique de Madagascar. Une ascension marquante en Pro B Depuis son arrivée à Pau-Lacq-Orthez, Sitraka s’est rapidement imposé comme un élément essentiel du dispositif de Mickaël Hay. Il a disputé de nombreux matchs avec régularité, apportant de la solidité défensive et une présence efficace dans la peinture. Lors de la 29e journée, il s’est particulièrement illustré contre son ancien club, Évreux, avec une prestation de haut niveau : 12 points, 5 rebonds et 3 contres en 33 minutes, contribuant largement au succès de son équipe (95-82). Grâce à ses performances constantes, il consolide sa réputation parmi les espoirs les plus prometteurs du championnat Pro B. Sa progression ne passe pas inaperçue et son impact sur le terrain pèse désormais dans les ambitions de l’Élan Béarnais. Conclusion Le transfert de Sitraka Raharimanantoanina à l’Élan Béarnais constitue une étape importante dans sa jeune carrière. Il confirme non seulement son potentiel, mais illustre également la montée en puissance du basket malgache sur la scène internationale. Si sa courbe de progression se poursuit, nul doute qu’il pourrait, dans un avenir proche, prétendre à des défis encore plus relevés.
Un événement novateur pour le basket-ball à Montréal

Le basket-ball canadien s’apprête à vivre un moment inédit avec un événement sans précédent prévu pour le 23 mai 2025 à 20 h, au Stade IGA. Habituellement dédié au tennis, ce site emblématique sera exceptionnellement métamorphosé en un terrain extérieur pour accueillir une rencontre historique entre l’Alliance de Montréal et les BlackJacks d’Ottawa. Cette confrontation, inscrite dans le cadre de la Classique Estivale de la LECB, marquera la toute première fois qu’un match professionnel de basket 5 contre 5 se jouera sous les étoiles au Canada. Une soirée hors normes annoncée Durant cette rencontre baptisée Éclipse : match sous les étoiles, les amateurs de basket auront droit à un spectacle rare, où l’ambiance nocturne viendra sublimer l’intensité du jeu. L’événement promet de fusionner la passion du sport et l’émotion d’une soirée à ciel ouvert, dans une atmosphère électrisante. Du côté de la LECB, il a été souligné que cette initiative s’inscrivait dans une volonté constante de proposer des expériences novatrices aux partisans, avec le match en extérieur illustrant parfaitement cet engagement. L’importance de tenir cette rencontre au Stade IGA, considéré comme une infrastructure de haut niveau, a également été mise en avant pour souligner la portée symbolique de ce moment. Une ligue résolument tournée vers l’innovation Depuis ses débuts, la Ligue élite canadienne de basket-ball s’est construite autour d’un modèle original, misant sur la créativité et la modernité. Elle fut notamment la première à instaurer le système de pointage cible sur l’ensemble de ses matchs, à jouer selon les règles FIBA, et à introduire des concepts inédits dans le paysage sportif nord-américain. L’idée de matchs disputés à l’extérieur était dans les plans depuis la création de la ligue en 2019. Son implantation à Montréal a été facilitée par l’implication du nouveau groupe de propriétaires locaux, composé de Joel Anthony, Léo Bouisson et Ian-Philip Paul-Hus, qui ont choisi de concrétiser ce projet audacieux. L’Alliance, moteur de l’aventure Par la voix de l’un de ses joueurs phares, Alain Louis, l’Alliance de Montréal a fait savoir que cette soirée s’annonçait comme un tournant marquant pour l’équipe, qui souhaite démontrer tout son potentiel à domicile dans un décor aussi inédit. Le joueur a insisté sur l’enthousiasme du groupe à l’idée de livrer une performance mémorable devant un public élargi, dans un cadre totalement réinventé. La formation montréalaise, qui entamera en mai sa quatrième saison, fera ainsi son entrée au Stade IGA pour une soirée à fort impact. Le lieu, capable d’accueillir plus de 11 500 spectateurs, permet un saut de capacité impressionnant par rapport aux 3 500 places de l’Auditorium de Verdun, lieu habituel des matchs à domicile. Cette évolution constitue un jalon majeur dans la croissance du basket professionnel à Montréal. Une expérience Grand Public Du côté de la direction, Jo-Annie Charbonneau, présidente de l’équipe, a fait savoir que l’événement avait été pensé pour s’inscrire dans une dynamique de célébration populaire. L’idée de l’éclipse, choisie comme thématique centrale, symbolise selon elle un moment unique et fédérateur, où le quotidien s’efface au profit de l’extraordinaire. L’objectif est donc de créer une atmosphère inoubliable qui dépasse le cadre du sport pur pour toucher une dimension culturelle et émotionnelle. Une opposition qui promet La confrontation entre l’Alliance de Montréal et les BlackJacks d’Ottawa s’annonce comme un épisode intense dans une rivalité déjà bien établie. Le match se veut une vitrine de l’identité montréalaise, autant qu’une affirmation de l’importance croissante du basket-ball au Québec. En plus du match, des animations inédites sont prévues pour enrichir l’expérience des spectateurs. Joel Anthony, copropriétaire de l’Alliance, a tenu à souligner que cet affrontement sous les étoiles incarnait l’ambition fondatrice de l’équipe : offrir à Montréal un projet hors du commun, capable de repousser les frontières traditionnelles du sport professionnel.
Là où naissent les géants : l’académie Swallows fait vibrer la jeunesse togolaise

À Lomé, au cœur du Togo, une structure unique attire l’attention et attise les rêves : l’académie Swallows, plus connue sous le nom évocateur de « La fabrique de géants ». Dans ce centre de formation dédié au basket-ball, des dizaines de jeunes Togolais, garçons et filles, se préparent avec intensité à faire partie de l’élite mondiale. Avec un objectif ambitieux mais assumé : faire éclore des talents capables de briller sur les parquets internationaux, et peut-être, pour l’un d’eux, franchir un jour les portes de la NBA. Un programme exigeant mêlant discipline et excellence Dès les premières heures de la matinée, les pensionnaires prennent la direction des bancs de l’école. L’éducation académique est un pilier fondamental du programme, car l’académie ne forme pas que des sportifs : elle cultive aussi l’avenir de jeunes citoyens. L’après-midi, place au basket-ball, dans une ambiance à la fois électrique et rigoureuse. Les séances sont millimétrées : travail de dribbles, de coordination, de tirs en mouvement, de déplacements défensifs, ou encore de condition physique. Sous l’œil exigeant des coachs, chaque détail compte. Rien n’est laissé au hasard, car ici, le rêve est grand : franchir les frontières, intégrer les grandes universités américaines ou les clubs européens, et prouver que l’Afrique peut produire les champions de demain. Un recrutement élitiste fondé sur la morphologie La particularité de Swallows réside aussi dans sa politique de recrutement. La taille minimale exigée pour les garçons est de 1,90 m, un critère rigoureux mais stratégique : l’académie vise la formation de postes intérieurs dominants et de profils rares recherchés sur la scène internationale. Le modèle de Swallows repose sur une double exigence : le potentiel physique d’un côté, la capacité à s’adapter à une vie rythmée par la performance, de l’autre. Ce modèle, inspiré de certaines académies américaines, est une première en Afrique de l’Ouest francophone. Des exemples de réussite qui nourrissent l’espoir Le travail commence à porter ses fruits. Plusieurs anciens pensionnaires ont déjà franchi les océans pour poursuivre leur ascension. Samson Johnson, formé à Swallows, évolue aujourd’hui aux États-Unis dans l’université de Connecticut (UConn), une référence du basket universitaire. Romaric Magnon a rejoint un centre de formation au Texas, tandis que Rihanna Ahar et Yasmine Apoujack, deux jeunes espoirs féminins, poursuivent leur parcours en Indiana et en Floride. Mais l’exemple qui fait rêver tous les jeunes de l’académie, c’est Mohamed Dabone. Avec ses 2,08 m, il est aujourd’hui intégré à l’équipe de basket du FC Barcelone, un des plus grands clubs européens. Il incarne la preuve vivante que la vision de Swallows est possible, et que le chemin vers les sommets existe. Un tremplin pour une jeunesse ambitieuse Au-delà des performances sportives, Swallows est un véritable incubateur de rêves pour la jeunesse togolaise. L’académie œuvre à briser les barrières géographiques et sociales, à offrir une chance à des jeunes issus de tous les milieux, pourvu qu’ils aient le potentiel et la détermination. Elle travaille également à sensibiliser les familles à l’importance d’un double parcours, sport et études, pour garantir un avenir équilibré à ses pensionnaires. Si la NBA reste le rêve ultime, les fondateurs de Swallows insistent : il ne s’agit pas uniquement de former des professionnels du basket, mais des individus complets, capables de réussir sur et en dehors du terrain.
Yoff : la BAL et la Ville de Dakar inaugurent un nouvel espace sportif

À l’occasion de la clôture de la Conférence du Sahara de la BAL 2025, un terrain de basket-ball entièrement rénové a vu le jour dans le quartier de Yoff, au Sénégal. Cette réalisation, portée conjointement par la Ligue africaine de basketball et la municipalité de Dakar, s’inscrit dans une démarche à long terme visant à favoriser le développement du sport et à renforcer la cohésion sociale au sein des communautés locales. Un projet d’envergure pour la jeunesse locale et l’écosystème sportif L’aménagement de cette infrastructure s’insère dans le vaste programme de NBA Africa, qui prévoit la création de 1 000 terrains à travers le continent africain au cours de la prochaine décennie. Situé dans une zone densément peuplée, le nouveau terrain devrait bénéficier à environ 5 000 habitants en leur offrant un cadre sécurisé pour la pratique du basket-ball et l’apprentissage des valeurs sportives. Dans le paysage du sport africain, certaines plateformes telles que 22Bet accompagnent également cette tendance en mettant en avant une large sélection d’événements, incluant les compétitions locales et internationales les plus suivies. La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence de plusieurs personnalités institutionnelles et sportives, parmi lesquelles figuraient la ministre sénégalaise de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Khady Diene Gaye, le secrétaire général de la Ville de Dakar, Mouhamed Diop, le maire de Yoff, Seydina Issa Laye Samb, ainsi que des représentants de la BAL et de la NBA Africa, notamment Clare Akamanzi, Amadou Gallo Fall, et Babacar Ndiaye, président de la Fédération sénégalaise de basket-ball. Le sport au service de la jeunesse africaine À la suite de cet événement, la BAL a collaboré avec Speak Up Africa, une organisation panafricaine engagée dans la promotion du développement durable, pour organiser un camp d’entraînement et un atelier éducatif sur la prévention du paludisme. Cinquante enfants de moins de 16 ans y ont participé dans le cadre des activités marquant la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, célébrée le 25 avril. Cette initiative visait à sensibiliser les jeunes aux enjeux sanitaires tout en leur fournissant les outils nécessaires pour relayer les messages de prévention dans leur entourage. Le président de la BAL a fait savoir que ces actions reflétaient la volonté de l’organisation de soutenir activement les populations locales, en créant des opportunités concrètes pour la jeunesse. De son côté, le secrétaire général de Dakar a souligné l’importance du partenariat établi avec la BAL, le qualifiant de levier essentiel pour faire du sport un vecteur d’inclusion, d’éducation et de progrès collectif. Ainsi, à travers cette rénovation, la ville de Dakar et ses partenaires entendent faire du basket-ball un moteur de transformation sociale, plaçant les jeunes générations au cœur de leur engagement. Dans une logique d’accessibilité croissante, 22Bet permet également aux amateurs de sport de rester connectés à l’actualité via une interface mobile adaptée à tous les types d’appareils.
Julie Dacosta s’engage avec Iraurgi Saski Baloia pour la saison 2024-2025

La basketteuse sénégalaise Julie Dacosta renforce les rangs du Domusa Teknik Iraurgi Saski Baloia pour la saison 2024-2025. Le club basque évolue en Liga Femenina Challenge, la deuxième division du championnat espagnol féminin. Ce transfert marque le retour de l’intérieure en Espagne, après un passage remarqué dans le championnat luxembourgeois avec Basket Esch. Julie Dacosta ambitionne désormais de contribuer à la montée de l’ISB dans l’élite du basketball féminin espagnol. Avec son expérience et ses qualités athlétiques, elle s’impose déjà comme un atout de taille dans l’effectif d’Azpeitia. Une trajectoire ascendante pour l’intérieure sénégalaise Née le 8 avril 1999, Julie Dacosta évolue aux postes d’ailière forte et de pivot. Mesurant 1,85 m, elle est dotée d’un gabarit solide et d’une lecture de jeu qui lui permettent de s’imposer dans la raquette. Elle débute sa carrière au Sénégal, au sein du Dakar Université Club (DUC), où elle se distingue rapidement par ses prestations. Cette première étape réussie ouvre la voie à une expérience européenne. De 2021 à 2023, Julie évolue en Espagne avec Vega Lagunera Adareva Tenerife. Durant ces deux saisons, elle affine son jeu face à des adversaires de haut niveau et s’acclimate au rythme du championnat espagnol. Elle prend ensuite la direction du Luxembourg pour la saison 2023-2024, rejoignant Basket Esch. Là, elle s’affirme comme la meilleure rebondeuse du club, avec des statistiques remarquables : 13,5 points, 8,3 rebonds et 2,8 interceptions de moyenne par match. Forte de cette progression constante, elle revient en Espagne à l’été 2024, cette fois pour défendre les couleurs d’Iraurgi Saski Baloia. Par ailleurs, elle a également été convoquée pour les qualifications à la Coupe du Monde féminine FIBA 2026, illustrant son importance au sein de la sélection nationale sénégalaise. Un pilier du jeu d’Iraurgi Saski Baloia Depuis son arrivée à l’ISB, Julie Dacosta a rapidement trouvé sa place dans l’effectif. Elle affiche déjà des statistiques solides : 244 points marqués en 31 rencontres pour un total de 585 minutes passées sur le parquet. Lors de sa première apparition sous les couleurs du club, elle impressionne avec une performance à 17 points, 8 rebonds et 1 interception. Ces chiffres confirment sa capacité à peser dans les deux moitiés de terrain. Joueuse complète, Dacosta excelle dans les duels sous le panier, où son sens du placement et sa force physique lui permettent de capter de nombreux rebonds. En attaque, elle se montre précise, notamment sur les tirs près du cercle. Elle est devenue une pièce centrale du dispositif tactique mis en place par le staff technique. Sa régularité et son impact dans le jeu en font une joueuse essentielle pour les ambitions de l’ISB cette saison. Une saison prometteuse pour Julie Dacosta Julie Dacosta a su s’imposer comme l’un des éléments les plus fiables de son équipe. Sa constance, match après match, témoigne de son engagement et de son professionnalisme. À seulement 26 ans, elle dispose encore d’une belle marge de progression. Avec son talent et son mental, elle semble bien partie pour aider Iraurgi Saski Baloia à franchir un cap. L’avenir s’annonce radieux pour la jeune sénégalaise, dont les performances laissent entrevoir une montée en puissance continue dans le championnat espagnol.
BAL 2025 : Monastir s’impose dans une Conférence Sahara pleine de rebondissements

La Conférence Sahara de la Basketball Africa League (BAL) édition 2025 a pris fin ce dimanche 4 mai à la Dakar Arena, au Sénégal. Durant neuf jours de compétition acharnée, les quatre équipes en lice se sont affrontées pour décrocher les billets qualificatifs vers les play-offs. À l’issue de cette étape régionale, l’US Monastir s’est imposée en leader incontesté, confirmant son retour au plus haut niveau. Cette phase a aussi été marquée par l’exploit inattendu du Kriol Star, tandis que le parcours décevant de l’ASC Ville de Dakar a attristé les supporters locaux. Monastir domine la conférence devant un Petro Luanda en demi-teinte Après un début de saison hésitant, l’US Monastir a retrouvé son identité de jeu et sa combativité. En six rencontres, le club tunisien a signé quatre succès contre deux revers, affichant une différence positive de +34 points. Cette régularité leur a permis de se hisser au sommet du classement, devant le champion sortant Petro de Luanda. La performance collective des Monastiriens a été soutenue par un Babacar Sané étincelant, auteur notamment de 13 points et 12 rebonds dans le match décisif contre l’ASC Ville de Dakar. Face à une formation sénégalaise pourtant portée par son public, Monastir a su maintenir son intensité jusqu’au bout pour s’imposer 77-68. Ce succès final leur a non seulement assuré la première place, mais aussi une qualification directe pour la phase finale prévue à Pretoria en juin prochain. De son côté, le Petro de Luanda n’a pas totalement répondu aux attentes. Malgré son statut de favori, le club angolais a montré des signes d’irrégularité. Avec trois victoires pour autant de défaites et une différence de points de +31, les Angolais terminent à la deuxième place, évitant de peu la surprise d’une élimination prématurée. Le Kriol Star déjoue les pronostics et poursuit l’aventure Parmi les révélations de cette conférence, le Kriol Star a marqué les esprits. L’équipe capverdienne a terminé à la troisième place avec un bilan identique à celui du Petro (3-3), mais une différence de points négative (-45). Toutefois, leur ténacité et leur solidarité défensive ont fait la différence, notamment lors de leur ultime match contre Luanda, remporté en prolongation sur le score de 71-69. Ce succès retentissant repose en grande partie sur une défense de zone 2-3 redoutable, qui a mis en échec l’attaque angolaise : 19 pertes de balle forcées et 23 tirs ratés sur 43 tentatives. Grâce à cette victoire, les Capverdiens arrachent l’un des deux tickets réservés aux meilleures troisièmes, devançant ainsi le FUS Rabat, pensionnaire de la Conférence Kalahari. L’ASC Ville de Dakar s’incline devant son public Pour le club hôte, la campagne a viré au cauchemar. Malgré une entame prometteuse, l’ASC Ville de Dakar n’a pas su maintenir son rythme. Avec seulement deux victoires en six matchs, les Dakarois ferment la marche dans la Conférence Sahara, quittant la compétition sur une note amère. La dernière confrontation face à Monastir a symbolisé leur incapacité à gérer la pression. Ni les renforts récents comme Will Perry et Makhtar Gueye, ni l’appui du public n’ont permis d’inverser la tendance. Les joueurs sénégalais ont souffert d’un manque de cohésion et d’une adaptation tactique défaillante. Leur élimination rappelle celle du DUC en 2022, également sorti prématurément de la compétition à domicile lors de la Conférence Sahara. Pretoria en ligne de mire, Kigali encore décisif À ce stade de la compétition, cinq formations ont déjà validé leur ticket pour les play-offs qui se dérouleront du 6 au 14 juin à Pretoria, en Afrique du Sud. De la Conférence Sahara, l’US Monastir, le Petro Luanda et le Kriol Star sont qualifiés. La Conférence Kalahari, elle, a livré Al Ittihad Alexandria et Rivers Hoopers. Pour le FUS Rabat, tout reste à jouer. Le club marocain, troisième dans sa zone, doit désormais attendre les résultats de la Conférence Nil, qui se disputera du 17 au 25 mai à Kigali. Quatre équipes y sont engagées : l’Armée Patriotique Rwandaise, Al Ahli Tripoli, Nairobi City Thunder et Made by Basketball. La BAL 2025 promet encore des moments palpitants alors que l’enjeu se rapproche : la conquête du titre continental.
Brancou Badio rejoint le Valencia Basket jusqu’en 2027 : un nouveau cap dans sa carrière prometteuse

Le meneur sénégalais Brancou Badio a officiellement signé un contrat de trois saisons avec le club espagnol Valencia Basket, le liant à l’équipe jusqu’en juin 2027. Transféré en provenance du BAXI Manresa, le joueur retrouve ainsi son ancien entraîneur Pedro Martínez. Le coût de l’opération avoisinerait les 150 000 euros, correspondant à la clause libératoire que le club valencien a dû activer pour finaliser le deal. Cette signature marque un tournant pour le talentueux basketteur qui confirme sa montée en puissance sur la scène européenne. Un parcours impressionnant depuis le Sénégal jusqu’à l’Espagne Né à Rufisque le 17 février 1999, Brancou Badio – surnommé affectueusement « Papi » – évolue au poste de meneur et mesure 1,91 mètre. C’est à l’âge de 15 ans qu’il débute sérieusement sa carrière en jouant pour le club sénégalais Saltigué. Sa précocité est vite récompensée : il est élu joueur révélation de la ligue en 2018. Il s’expatrie ensuite en Espagne pour intégrer la Canarias Basketball Academy, avant de rejoindre l’équipe La Matanza, active en Liga EBA. Son ascension se poursuit lorsqu’il intègre en 2019 le prestigieux FC Barcelone. En plus de briller avec l’équipe réserve en LEB Plata avec une moyenne de 13,4 points par match (et un impressionnant 40 % de réussite à trois points), il fait ses débuts avec l’équipe première le 20 septembre 2020 contre San Pablo Burgos. En 2021, il tente une aventure en Allemagne avec les Skyliners Frankfurt. En Bundesliga, il affiche une moyenne de 10,6 points, 2,3 rebonds et 3 passes décisives. Il revient rapidement en Espagne en mai 2022, cette fois sous les couleurs de BAXI Manresa, où il retrouve le coach Pedro Martínez. Ce passage est décisif : Badio y explose, étant nommé dans le deuxième meilleur cinq de la Liga Endesa en 2023/2024 avec 13,6 points, 2,7 rebonds et 2,4 passes décisives de moyenne. Sur le plan international, le Sénégalais a représenté sa nation aux qualifications pour la Coupe du Monde FIBA 2019, puis à l’Afrobasket 2021, où il s’est imposé comme meneur titulaire avec 17,3 points et 5,5 passes de moyenne. Débuts solides sous les couleurs valenciennes Fraîchement arrivé à Valence, Brancou Badio s’intègre rapidement dans les plans de Pedro Martínez. Déjà très actif cette saison, il a disputé 48 matchs toutes compétitions confondues : 28 en Liga Endesa et 20 en EuroCup. Il affiche en championnat espagnol une moyenne de 8,9 points, 2,6 rebonds et 2,9 passes décisives par rencontre. En EuroCup, il améliore légèrement ses statistiques avec 9,6 points, 2,1 rebonds et 2,8 passes décisives par match. Des chiffres encourageants pour un joueur qui continue de progresser dans un environnement compétitif. Sa capacité à s’adapter rapidement, son dynamisme offensif et sa discipline tactique en font déjà une pièce essentielle de l’effectif du Valencia Basket. Le joueur semble parfaitement s’épanouir dans ce nouveau cadre, et ses performances laissent entrevoir de belles perspectives pour les saisons à venir. Un avenir radieux en Liga ACB Avec cette signature jusqu’en 2027, Brancou Badio confirme son statut de valeur montante du basketball africain et européen. Son retour sous les ordres de Pedro Martínez pourrait bien constituer une nouvelle étape dans son éclosion au plus haut niveau. À seulement 26 ans, le meneur sénégalais semble avoir encore une large marge de progression, et son aventure valencienne s’annonce prometteuse.
BAL 2025 : l’ASC Ville de Dakar se relance

L’ASC Ville de Dakar a réalisé une performance remarquable lors de la 3ᵉ journée de la Conférence Sahara de la Basketball Africa League (BAL) 2025, en s’imposant 65-64 face à Petro de Luanda, tenant du titre. Cette victoire, acquise dans une ambiance électrique au Dakar Arena, marque un tournant significatif pour le club sénégalais dans sa première participation à la BAL. Un exploit face au champion en titre Le match contre Petro de Luanda, réputé pour sa domination sur la scène africaine, s’annonçait difficile. Cependant, l’ASC Ville de Dakar a su faire preuve de résilience et de détermination. Makhtar Gueye s’est illustré avec une performance notable, enregistrant 16 points et 11 rebonds, contribuant ainsi de manière décisive à la victoire de son équipe. Ce succès permet à l’ASC Ville de Dakar de signer sa deuxième victoire en trois rencontres, renforçant ses chances de qualification pour les phases finales. Une équipe ambitieuse et bien préparée Pour sa première participation à la BAL, l’ASC Ville de Dakar a misé sur un recrutement stratégique, intégrant des joueurs expérimentés tels que le pivot soudanais Ater Majok, le meneur américain Will Perry et l’ailier nigérian Abdoulaye Harouna. Cette stratégie, combinée à l’encadrement de l’entraîneur Libasse Faye, a permis au club de se positionner comme un sérieux prétendant dans la compétition. La victoire contre Petro de Luanda confirme la pertinence de ces choix et la capacité de l’équipe à rivaliser avec les meilleures formations du continent. Une phase aller compétitive La Conférence Sahara s’est révélée particulièrement compétitive, avec des résultats serrés et imprévisibles. Chaque équipe a démontré un niveau de jeu élevé, rendant la compétition ouverte et passionnante. L’ASC Ville de Dakar, en battant un adversaire de la trempe de Petro de Luanda, a envoyé un message fort à ses concurrents. La phase retour, qui débutera après une journée de repos, s’annonce tout aussi disputée, avec des enjeux élevés pour la qualification aux « Finals 8 » prévus du 6 au 14 juin à Pretoria, en Afrique du Sud. Les nerfs à vif pour l’ASC Ville de Dakar L’ASC Ville de Dakar a connu un revers difficile lors de la 4ᵉ journée de la Conférence Sahara de la Basketball Africa League. Opposés à une équipe redoutable, les Sénégalais se sont inclinés de justesse sur le score de 95 à 92, au terme d’un match très disputé jeudi dernier. Malgré une prestation solide de Makhtar Gueye, auteur de 20 points, la formation dakaroise n’a pas réussi à contenir l’explosivité de Patrick McGlynn, véritable chef d’orchestre de la rencontre avec ses 29 unités inscrites. Cette défaite place désormais le club avec un bilan équilibré de deux succès pour autant d’échecs. Fait marquant : toutes les formations de cette poule se retrouvent à égalité parfaite après quatre journées, promettant une fin de phase très ouverte. L’ASC retrouvera les parquets le 3 mai prochain pour un duel crucial face à Petro de Luanda, tenant du titre, qui reste sur une victoire convaincante face à l’US Monastir (78-68). Dans cet environnement, 1xBet s’impose comme un partenaire fiable pour les passionnés de cette discipline sportive.

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