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Du 11 au 13 septembre 2025, Casablanca a accueilli la nouvelle édition du Grand Prix d’Afrique (GPA), un rendez-vous désormais incontournable pour les acteurs du secteur des loteries sur le continent. Après trois éditions organisées à Marrakech, l’événement a pris ses quartiers dans la capitale économique marocaine, confirmant son rayonnement croissant. Sous l’impulsion de la Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC), en partenariat avec l’Association des Loteries d’Afrique (ALA), cette rencontre a réuni des décideurs, opérateurs et experts venus de différents horizons.
C’est dans ce cadre que Racing1, la marque issue de l’alliance stratégique entre 1/ST CONTENT, Arena Racing Company (ARC), Racecourse Media Group (RMG) et Tabcorp, a fait ses premiers pas en conférence. L’objectif affiché était de renforcer ses liens avec la SOREC et de démontrer la pertinence de son modèle intégré pour les marchés émergents. Cette première apparition officielle a marqué un tournant, puisque Racing1 a présenté une offre ambitieuse, pensée pour transformer la diffusion et l’accessibilité des courses hippiques à l’échelle mondiale.
Une offre internationale adaptée aux nouveaux marchés
Durant l’événement, Racing1 a dévoilé un programme quotidien regroupant des compétitions hippiques venues de plusieurs continents : Royaume-Uni, Amériques, Turquie, Maroc, Australie, Nouvelle-Zélande et Afrique du Sud. Grâce à une diffusion en continu, 24 heures/24 et 7 jours/7, ce contenu s’intégrait aisément aux programmes de paris sportifs et de loteries. Il permettait ainsi aux opérateurs d’exploiter différents créneaux horaires et de proposer une expérience fluide, quel que soit le territoire ciblé.
Les partenaires fondateurs de Racing1 ont souligné que cette union de forces visait à offrir des solutions sur mesure, adaptées aux attentes de publics variés. Certains spectateurs sont déjà familiers de l’univers hippique, tandis que d’autres nécessitent davantage de pédagogie pour s’y initier. Cette approche différenciée illustrait la volonté d’élargir l’audience et de démocratiser les courses au-delà des marchés traditionnels.
Une stratégie axée sur la simplification et la valeur ajoutée
Lors de son intervention, le porte-parole Simon Fraser a expliqué que Racing1 cherchait à simplifier un secteur souvent perçu comme complexe. Selon lui, l’entreprise avait réussi à condenser un réseau mondial autrefois fragmenté de droits de diffusion en une offre unifiée, permettant une consommation plus claire et plus accessible. Cette démarche était jugée cruciale pour les marchés émergents, où la simplicité d’intégration représente un facteur déterminant.
Il a également mis en avant Racing1 Markets, une déclinaison de l’offre principale, pensée comme une solution complète et disponible via un seul contrat. Grâce à un nouvel iFrame ou à une API déjà existante, l’intégration devenait rapide et peu contraignante. Fraser a précisé que l’ambition de Racing1 était d’offrir une externalisation totale, avec une disponibilité continue, afin d’apporter aux plateformes et opérateurs un service clé en main, considéré comme leader du marché.
Enfin, il a insisté sur la volonté de l’alliance de générer une meilleure valeur pour les acteurs majeurs de l’univers hippique. L’objectif affiché était de développer davantage d’accords internationaux, allant au-delà des partenariats domestiques où les courses sont historiquement mieux ancrées. Racing1 voulait ainsi démontrer que cette approche globale bénéficiait à la fois aux opérateurs et aux consommateurs, grâce à une solution centralisée, regroupée dans un seul contrat et une seule intégration.