FAZI accélère sa percée en Afrique avec ChopBet

Le : août 28, 2025

Sommaire

Le marché africain des jeux en ligne continue d’attirer les plus grands acteurs de l’iGaming. FAZI, fournisseur de solutions de jeu réputé pour son contenu premium, a récemment conclu un accord stratégique avec ChopBet, un opérateur actif dans plusieurs pays du continent. Cette entente vise à combiner l’expertise technologique de FAZI avec la notoriété de ChopBet auprès des joueurs africains. Pour FAZI, cette nouvelle étape illustre son ambition de renforcer sa présence sur les territoires réglementés. Pour ChopBet, elle marque une opportunité d’élargir son catalogue et de consolider son statut de leader du divertissement en ligne en Afrique.

Une alliance pour dynamiser les marchés africains réglementés

Grâce à ce partenariat, les créations signées FAZI seront intégrées directement sur les plateformes de ChopBet. Les utilisateurs pourront ainsi profiter d’un éventail de titres populaires comme Golden Crown, Unicorn Fruit Island, Wild Hot 40 ou encore Epic Clover 100. L’ajout de ces machines à sous vient enrichir une offre déjà solide, renforçant l’attractivité de ChopBet auprès d’un public toujours plus exigeant.

Les deux entreprises n’ont pas manqué d’exprimer leur satisfaction. Selon Job Weku, Responsable du développement commercial pour l’Afrique chez FAZI, collaborer avec un opérateur aussi respecté que ChopBet représente « une étape majeure de notre stratégie régionale et l’occasion de proposer notre contenu premium à une audience beaucoup plus large ». De son côté, Hubert Makokha, Chef de produit chez ChopBet, a souligné que cette intégration permet à son entreprise d’« offrir un divertissement de classe mondiale et d’enrichir considérablement notre bibliothèque de machines à sous avec des titres captivants, consolidant ainsi notre position de premier opérateur en Afrique ».

FAZI, un pionnier de l’innovation dans l’iGaming

Basée en Serbie, FAZI s’impose depuis plusieurs années comme un acteur incontournable du secteur des jeux de hasard. L’entreprise conçoit et distribue aussi bien des machines électroniques que des solutions de jeu en ligne, lui permettant de répondre aux attentes d’un marché en constante évolution. Ses produits couvrent un large éventail : roulettes électroniques, logiciels de casino en ligne et machines à sous vidéo aux thèmes variés.

Le sérieux de FAZI se reflète dans ses certifications internationales, gages de fiabilité et de conformité. L’entreprise détient notamment la ISO 27001, relative à la sécurité de l’information, ainsi que la GLI-19, qui atteste de la conformité technique et réglementaire de ses produits. Grâce à ces standards, FAZI s’assure de proposer des solutions sécurisées, innovantes et adaptées aux différents marchés réglementés.

ChopBet et Choplife Gaming : un duo incontournable

ChopBet, filiale de Choplife Gaming, s’est rapidement imposée comme l’une des plateformes les plus dynamiques du continent. Présente dans plusieurs pays africains, la marque propose une vaste sélection de jeux en ligne allant des machines à sous aux jeux de table virtuels, tout en intégrant des offres locales adaptées aux préférences régionales. Sa notoriété repose autant sur la diversité de son catalogue que sur la fluidité de son expérience utilisateur.

Sa société mère, Choplife Gaming, se spécialise dans la création d’environnements de divertissement immersifs. Au-delà du jeu en ligne, elle développe des expériences interactives qui visent à transformer la manière dont les joueurs consomment le divertissement digital en Afrique. La synergie entre Choplife Gaming et ChopBet renforce l’impact de cette dernière, lui permettant de bénéficier d’une infrastructure solide et d’une stratégie ambitieuse tournée vers l’expansion continentale.

Une collaboration qui ouvre de nouvelles perspectives

En unissant leurs forces, FAZI et ChopBet confirment leur volonté d’occuper une place centrale dans le paysage iGaming africain. D’un côté, FAZI apporte son expertise technologique et ses contenus certifiés ; de l’autre, ChopBet met en avant son ancrage régional et sa proximité avec les joueurs. Ensemble, ils visent à conquérir des marchés où la demande en divertissement numérique ne cesse de croître.

Ce partenariat illustre parfaitement la dynamique actuelle du secteur en Afrique : une combinaison de contenus de qualité et de plateformes performantes, pensée pour séduire un public jeune et connecté. Pour FAZI comme pour ChopBet, il s’agit d’un tremplin vers de nouvelles opportunités et d’un signal fort envoyé aux acteurs internationaux qui observent attentivement l’évolution du marché africain.

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août 28, 2025

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Casinos et jeux boostent les revenus de Loto-Québec

Loto-Québec signe un trimestre exceptionnel avec une hausse de ses revenus de 11,1 % entre avril et juin 2025. Les casinos et salons de jeux ont été les moteurs de cette performance, représentant une part significative des recettes. Cette progression conforte la position de la société d’État québécoise dans l’industrie du jeu, malgré la concurrence croissante des plateformes non réglementées. Son PDG salue des résultats prometteurs et mise sur l’innovation et la diversification pour maintenir cette dynamique. Une croissance soutenue au printemps 2025 Au deuxième trimestre 2025, Loto-Québec a généré 766,5 millions $ CAD de revenus, soit une augmentation de 76,8 millions $ CAD par rapport à la même période l’an dernier. Les casinos et salons de jeux ont enregistré une performance remarquable avec 323,4 millions $ CAD de revenus, en hausse de 17,6 %. Cette progression a été stimulée par de nouvelles offres, comme des tables de jeux dans les lounges, un jackpot progressif inter-sites pour le poker et une mise optionnelle au blackjack. Les loteries ont rapporté 236,3 millions $ CAD, affichant une croissance plus modérée de 7,8 %. De leur côté, les établissements de jeux incluant paris sportifs, loteries vidéo et bingo ont atteint 212,2 millions $ CAD, en progression de 5,7 %. Le bénéfice net s’est hissé à 384,4 millions $ CAD, confirmant la solidité financière de la société. Des résultats portés par l’innovation Pour son PDG Jean-François Bergeron, ces résultats confirment l’élan positif amorcé en 2024. L’entreprise continue de moderniser ses plateformes et de diversifier ses expériences, tant physiques que numériques. La diffusion en direct des jeux depuis le Casino de Montréal, l’ajout de tables de poker électroniques et le partenariat avec Bragg Gaming Group pour enrichir l’offre en ligne ont renforcé l’attractivité de la marque. Le responsable souligne que cette stratégie favorise un jeu responsable et met en avant un portefeuille adapté aux nouvelles attentes des joueurs. Cette dynamique pourrait se traduire par une performance annuelle encore plus robuste si la tendance se maintient sur les prochains trimestres. Loto-Québec, un pilier économique Société d’État créée en 1969, Loto-Québec occupe une place majeure dans l’économie provinciale. Ses revenus financent en partie les services publics, ce qui en fait un acteur stratégique pour le Québec. Malgré les critiques de certains lobbyistes réclamant l’ouverture du marché aux opérateurs privés, Loto-Québec conserve une part de marché importante, surtout sur les jeux de loterie et de casino en ligne. Ses activités s’étendent aux casinos terrestres, salons de jeux, réseaux de loterie et aux plateformes numériques, lui permettant de capter un large public. Les projets d’expansion, comme l’agrandissement du centre de conférences du Casino du Lac-Leamy, renforcent son rôle de moteur de divertissement et de développement économique. Conclusion Les résultats du deuxième trimestre 2025 confirment la vitalité de Loto-Québec et l’efficacité de sa stratégie d’innovation. En s’appuyant sur la modernisation de son offre et sur une gestion responsable, la société d’État se positionne comme un leader résilient du secteur. Si la concurrence des opérateurs privés reste un défi, la performance actuelle témoigne de sa capacité à capter et fidéliser sa clientèle. Les prochains mois diront si cette tendance se maintient et si le modèle québécois pourra continuer à conjuguer rentabilité et mission de service public dans un environnement de plus en plus concurrentiel.
Innovation primée : BetConstruct à l’honneur

Le 16 septembre 2025, BetConstruct a une nouvelle fois fait sensation lors des SiGMA Euro-Med Awards à Malte en remportant le prestigieux prix « Industry Trendsetter 2025 » pour sa plateforme révolutionnaire Bonus Pie. Cette distinction souligne la capacité de l’entreprise à transformer l’univers du jeu en ligne, en offrant une expérience unique qui attire, fidélise et surprend les joueurs. Elle confirme également la position de la marque en tant qu’acteur incontournable et innovant sur le marché mondial de l’iGaming. Ce succès ne se limite pas à un simple trophée. Il témoigne de l’engagement stratégique de BetConstruct pour réinventer l’interaction avec les utilisateurs, en mêlant technologie de pointe, créativité et design centré sur l’expérience client. Bonus Pie devient ainsi un véritable symbole d’innovation dans un secteur en constante évolution. Un système ludique et interactif Bonus Pie transforme le jeu en une aventure interactive où chaque action compte. Les joueurs accumulent des Pie Points grâce à des récompenses en cashback, des succès en tournois ou des rotations sur la Wonder Wheel, créant un parcours captivant et motivant. Ces points sont ensuite échangeables contre des NFT exclusifs, offrant des contenus uniques qui renforcent le lien entre le joueur et la plateforme. L’interface ergonomique et fluide assure une navigation intuitive sur mobile et desktop, avec des mises à jour instantanées et une attribution des points en temps réel. Chaque élément de la plateforme est conçu pour maximiser l’engagement et prolonger l’expérience, tout en introduisant des éléments de gamification qui fidélisent les utilisateurs de manière naturelle et ludique. Opportunités stratégiques pour les exploitants Pour les opérateurs et partenaires, Bonus Pie est bien plus qu’un simple outil promotionnel : c’est une solution complète et modulable qui génère de nouvelles sources de revenus. Les fonctionnalités personnalisables, les ventes de points et le système de cashback permettent aux exploitants de créer des campagnes sur mesure, de stimuler l’activité des joueurs et de renforcer leur fidélité sur le long terme. L’intégration harmonieuse avec l’écosystème BetConstruct garantit une expérience cohérente et fluide pour les utilisateurs tout en offrant aux partenaires des avantages stratégiques tangibles. Bonus Pie ouvre la voie à de nouvelles formes d’interaction et de monétisation, alliant innovation et performance commerciale. Une référence mondiale dans le secteur iGaming Cette reconnaissance aux SiGMA Euro-Med Awards illustre l’engagement continu de BetConstruct à repousser les limites du jeu en ligne. Bonus Pie symbolise une nouvelle génération de plateformes capables de combiner technologie avancée, créativité et stratégie business. Pour les investisseurs et partenaires, cette distinction représente une garantie de qualité et d’innovation, mettant en lumière l’approche visionnaire de BetConstruct dans un marché où différenciation et expérience utilisateur sont des clés de succès.
Alliance stratégique entre Play’n GO et Betika

Play’n GO, fournisseur reconnu de contenus iGaming, révèle un partenariat stratégique avec l’opérateur Betika, basé au Kenya. Par ce biais, le catalogue de jeux de casino premium du fournisseur sera intégré aux plateformes de Betika. Cette initiative illustre la volonté de Play’n GO de proposer des divertissements de niveau international sur des marchés émergents comme l’Afrique. Quant à Betika, l’ajout des titres de Play’n GO à son offre vise à enrichir l’expérience utilisateur et à séduire un nombre de joueurs toujours plus grand. Une sélection de jeux Play’n GO désormais accessibles via Betika Grâce à cette collaboration, Play’n GO étend sa présence à plusieurs pays africains dont le Kenya, la Tanzanie, le Ghana, la République démocratique du Congo, la Zambie et l’Ouganda. Betika mettra à disposition de ses clients le portefeuille de jeux de casino haut de gamme du fournisseur, incluant des titres populaires comme Book of Dead, Rise of Olympus, Gemix, sans oublier d’autres favoris. Cette mesure permet d’offrir une gamme plus variée et de haute qualité, répondant aux attentes des joueurs en quête de nouveautés et de sensations fortes. Pour Play’n GO, c’est une étape marquante dans son développement géographique, qui s’ajoute aux nombreuses juridictions déjà couvertes. De son côté, Betika y gagne une dimension supplémentaire dans son offre, ce qui devrait renforcer sa position sur le marché compétitif des plateformes de jeu en ligne. Des propos enthousiastes des dirigeants des deux acteurs Magnus Olsson, Chief Commercial Officer chez Play’n GO, se réjouit de ce rapprochement. Il explique que l’alliance avec Betika ouvre à leur structure les portes de nouveaux marchés en Afrique, et souligne la réputation de l’opérateur en tant qu’acteur solide doté d’une grande expérience dans la région. Il insiste également sur le fait que les deux entreprises partagent l’ambition d’un secteur réglementé et durable, annonçant le début d’une collaboration porteuse. Peter Stagles, Head of Gaming chez Betika, voit dans ce partenariat une progression significative. Il affirme que l’ampleur du catalogue Play’n GO complète avec finesse leur plateforme, et qu’ensemble, ils comptent instaurer de nouveaux standards dans l’industrie du jeu en Afrique. Il exprime son impatience à offrir aux utilisateurs des opportunités de divertissement exceptionnelles, marquant ainsi un tournant dans l’évolution rapide que connaît le secteur sur le continent. Qui sont Play’n GO et Betika ? Play’n GO est un fournisseur majeur de contenus pour casinos en ligne, à l’échelle internationale. Son catalogue comprend plus de 400 titres premium, dont certains sont devenus emblématiques dans l’iGaming comme Rich Wilde / Book of Dead. Basée en Suède, l’entreprise fête ses vingt ans, forte d’une présence réglementée dans plus de 35 juridictions à travers le monde. Betika, quant à lui, est un acteur en ligne fondé en 2016 au Kenya, qui offre des paris sportifs, des jeux de casino, des jeux virtuels, des jeux d’e-sports et des jeux de crash. L’entreprise a rapidement étendu ses opérations à plusieurs pays africains, notamment la Tanzanie, le Ghana, le Nigeria, la RDC, l’Ouganda et la Zambie. Depuis ses débuts, Betika est passée d’offres par SMS à des services USSD, avant de proposer pleinement ses activités en ligne ; en 2023, elle est devenue la première société kenyane de paris à disposer d’une application sur le Play Store de Google. Conclusion Le partenariat entre Play’n GO et Betika apparaît comme une alliance stratégique forte, ouvrant la voie à une expansion significative du fournisseur suédois sur le continent africain. En rendant accessible un catalogue riche et varié via une plateforme déjà bien implantée, les deux sociétés posent les bases d’une collaboration prometteuse. Si tout se déroule comme prévu, cette démarche pourrait non seulement renforcer leur positionnement respectif, mais aussi contribuer à élever les standards du divertissement iGaming en Afrique.
Racing1 fait sensation lors du Grand Prix d’Afrique

Du 11 au 13 septembre 2025, Casablanca a accueilli la nouvelle édition du Grand Prix d’Afrique (GPA), un rendez-vous désormais incontournable pour les acteurs du secteur des loteries sur le continent. Après trois éditions organisées à Marrakech, l’événement a pris ses quartiers dans la capitale économique marocaine, confirmant son rayonnement croissant. Sous l’impulsion de la Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC), en partenariat avec l’Association des Loteries d’Afrique (ALA), cette rencontre a réuni des décideurs, opérateurs et experts venus de différents horizons. C’est dans ce cadre que Racing1, la marque issue de l’alliance stratégique entre 1/ST CONTENT, Arena Racing Company (ARC), Racecourse Media Group (RMG) et Tabcorp, a fait ses premiers pas en conférence. L’objectif affiché était de renforcer ses liens avec la SOREC et de démontrer la pertinence de son modèle intégré pour les marchés émergents. Cette première apparition officielle a marqué un tournant, puisque Racing1 a présenté une offre ambitieuse, pensée pour transformer la diffusion et l’accessibilité des courses hippiques à l’échelle mondiale. Une offre internationale adaptée aux nouveaux marchés Durant l’événement, Racing1 a dévoilé un programme quotidien regroupant des compétitions hippiques venues de plusieurs continents : Royaume-Uni, Amériques, Turquie, Maroc, Australie, Nouvelle-Zélande et Afrique du Sud. Grâce à une diffusion en continu, 24 heures/24 et 7 jours/7, ce contenu s’intégrait aisément aux programmes de paris sportifs et de loteries. Il permettait ainsi aux opérateurs d’exploiter différents créneaux horaires et de proposer une expérience fluide, quel que soit le territoire ciblé. Les partenaires fondateurs de Racing1 ont souligné que cette union de forces visait à offrir des solutions sur mesure, adaptées aux attentes de publics variés. Certains spectateurs sont déjà familiers de l’univers hippique, tandis que d’autres nécessitent davantage de pédagogie pour s’y initier. Cette approche différenciée illustrait la volonté d’élargir l’audience et de démocratiser les courses au-delà des marchés traditionnels. Une stratégie axée sur la simplification et la valeur ajoutée Lors de son intervention, le porte-parole Simon Fraser a expliqué que Racing1 cherchait à simplifier un secteur souvent perçu comme complexe. Selon lui, l’entreprise avait réussi à condenser un réseau mondial autrefois fragmenté de droits de diffusion en une offre unifiée, permettant une consommation plus claire et plus accessible. Cette démarche était jugée cruciale pour les marchés émergents, où la simplicité d’intégration représente un facteur déterminant. Il a également mis en avant Racing1 Markets, une déclinaison de l’offre principale, pensée comme une solution complète et disponible via un seul contrat. Grâce à un nouvel iFrame ou à une API déjà existante, l’intégration devenait rapide et peu contraignante. Fraser a précisé que l’ambition de Racing1 était d’offrir une externalisation totale, avec une disponibilité continue, afin d’apporter aux plateformes et opérateurs un service clé en main, considéré comme leader du marché. Enfin, il a insisté sur la volonté de l’alliance de générer une meilleure valeur pour les acteurs majeurs de l’univers hippique. L’objectif affiché était de développer davantage d’accords internationaux, allant au-delà des partenariats domestiques où les courses sont historiquement mieux ancrées. Racing1 voulait ainsi démontrer que cette approche globale bénéficiait à la fois aux opérateurs et aux consommateurs, grâce à une solution centralisée, regroupée dans un seul contrat et une seule intégration.
Popunder : moteur clé du marché africain du iGaming

Le marché africain des jeux d’argent en ligne connaît une expansion impressionnante. Les prévisions indiquent une progression moyenne de 6,3 % entre 2024 et 2028, portant le chiffre d’affaires à 2,36 milliards de dollars. Dans ce contexte, choisir un format publicitaire performant devient un facteur déterminant pour maximiser les profits. Parmi les solutions disponibles, le Popunder s’impose comme un outil incontournable pour les annonceurs de l’iGaming. Ce format discret mais efficace permet d’atteindre des millions d’utilisateurs tout en optimisant le retour sur investissement. L’Afrique, un terrain fertile pour l’iGaming Avec une population de 1,477 milliard de personnes, représentant près de 18 % de la population mondiale, l’Afrique offre un marché d’une ampleur exceptionnelle. Mais ce n’est pas seulement une question de chiffres. La majorité de la population active en ligne est jeune : la tranche 18–35 ans constitue le cœur de cible idéal pour les casinos et sites de paris. Les utilisateurs masculins sont particulièrement nombreux dans ce segment, ce qui correspond au profil type du joueur actif en ligne. Le mobile joue un rôle central. Avec plus de 475 millions d’utilisateurs mobiles, jusqu’à 75 % du trafic web africain provient de smartphones et tablettes. Les opérateurs de l’iGaming bénéficient ainsi d’un accès direct à une audience connectée et habituée aux interactions numériques. Le marché africain se distingue également par son ouverture à l’innovation : blockchain, interfaces USSD et mécanismes de gamification sont adoptés rapidement. Enfin, certains pays comme le Nigeria, le Kenya ou l’Ouganda affichent jusqu’à 70 % de la population adulte ayant déjà pratiqué des paris en ligne, offrant un public mature et réceptif aux campagnes publicitaires. Trois obstacles majeurs qui freinent les campagnes Malgré ce potentiel, 90 % des campagnes marketing échouent en raison de défis spécifiques. Le premier obstacle est la diversité réglementaire : 54 pays, 54 régulations différentes. Ce qui fonctionne au Nigeria peut être interdit au Kenya, obligeant chaque campagne à être adaptée localement, un processus complexe et coûteux. Le deuxième problème réside dans les restrictions des géants publicitaires. Google Ads et Meta bloquent régulièrement les contenus liés à l’iGaming, limitant l’accès aux canaux d’acquisition traditionnels et forçant les annonceurs à chercher des alternatives plus fiables. Enfin, le décalage entre clic et conversion constitue un frein majeur. Les vitesses d’internet variables, les appareils dépassés et des pages de destination trop lourdes empêchent de transformer un simple intérêt en inscription ou dépôt réel, réduisant drastiquement le taux de conversion. Popunder : un format publicitaire discret mais puissant Le Popunder est une fenêtre publicitaire qui s’ouvre derrière la page principale de l’utilisateur. Contrairement au pop-up classique, il n’interrompt pas la navigation et attend que l’internaute ferme ou minimise sa fenêtre principale pour apparaître. Ce format combine discrétion et visibilité maximale : les utilisateurs découvrent l’offre au moment où leur attention est libérée, augmentant les chances de conversion. Sa faible intrusivité et son coût relativement bas en font un choix stratégique pour les campagnes à grande échelle. Kadam et le Popunder optimisé La plateforme Kadam propose une version du Popunder appelée Clickunder, parfaitement adaptée au marché africain. Dès qu’un utilisateur clique sur un site partenaire, la publicité s’ouvre en arrière-plan sans interrompre la navigation. L’annonce devient visible uniquement lorsque la fenêtre principale est fermée, garantissant un taux de visibilité très élevé. Les avantages pour les annonceurs sont nombreux : coût par clic extrêmement faible, possibilité de toucher un trafic massif et ciblage précis selon le pays, le type de site ou l’appareil utilisé. Les campagnes Kadam contournent les blocages de Google et Meta, assurant une diffusion continue auprès d’une audience pertinente. Associé à des pages de destination engageantes et interactives, ce format maximise le retour sur investissement et permet de générer un volume de leads impressionnant avec des budgets limités. Conclusion Le Popunder s’impose comme l’outil incontournable pour les acteurs de l’iGaming en Afrique. Discret mais visible, économique et flexible, il répond aux défis spécifiques du continent, tout en optimisant la conversion. Grâce à des plateformes comme Kadam, les annonceurs peuvent exploiter ce format pour toucher un public massif et engagé, transformant ainsi la croissance du marché africain en opportunités concrètes de revenus.
African iGaming Alliance : Cap sur une régulation unifiée

Peter Kesitilwe, nouveau responsable de l’African iGaming Alliance (AIA), met en avant la nécessité de renforcer la coopération dans le secteur et de mettre fin à la fragmentation réglementaire. Selon lui, les frais bancaires élevés, la disparité des régulations et le manque de collaboration entre opérateurs constituent des obstacles majeurs pour le développement du marché africain. Collaboration et cohésion au cœur de la nouvelle alliance L’AIA, nouvel organisme professionnel, a pour objectif de créer un cadre de coopération entre les opérateurs et les parties prenantes afin d’influencer les décideurs politiques et les dissuader de recourir à une fiscalité excessive ou à d’autres mesures contre-productives. L’alliance a été créée par quatre opérateurs majeurs – Betway, BetPawa, 888Africa et Sportybet – mais Kesitilwe indique qu’elle recrute activement d’autres participants. Ancien directeur de la Botswana Gambling Authority, Kesitilwe apporte plus de neuf ans d’expérience réglementaire, dont près de deux ans en tant que CEO. Il précise que l’AIA n’a pas vocation à concurrencer les régulateurs ni les opérateurs indépendants sur le continent. Il souligne que l’intention est de collaborer, de se compléter et de travailler ensemble dans le cadre d’une alliance commerciale panafricaine. Selon lui, les acteurs du secteur ne devraient pas se considérer comme des rivaux puisqu’ils se complètent. C’est pourquoi il met en avant la nécessité d’harmoniser les questions fiscales et celles liées au jeu responsable au sein de l’alliance, en affirmant qu’il est essentiel de parler d’une seule voix. Promouvoir le jeu responsable et harmoniser la fiscalité L’un des objectifs principaux de l’AIA est de lutter contre le jeu problématique via une approche sectorielle. Kesitilwe souligne l’importance de mettre en place des cadres de jeu responsable sur l’ensemble du continent afin d’éviter que les gouvernements ne réagissent par une hausse des taxes. « La priorité de l’alliance est de promouvoir des cadres de jeu responsable à travers l’Afrique. C’est crucial, car les décideurs pourraient être tentés d’augmenter les impôts si le nombre de joueurs problématiques augmente. » Concernant la fiscalité, il appelle le secteur à défendre des taux d’imposition fixes, afin de réduire la pression des gouvernements pour accroître leurs recettes fiscales. L’AIA servira de pont entre opérateurs et régulateurs pour atteindre cet objectif. Morcellement des règles, appel à la standardisation Kesitilwe attire l’attention sur la fragmentation réglementaire qui freine le développement du marché. Chaque pays a ses propres règles, ce qui complique l’expansion transfrontalière des opérateurs. Il plaide pour la création d’un organisme centralisé afin d’harmoniser les régulations entre marchés voisins. Il souligne qu’il existe une division en Afrique, expliquant qu’un opérateur peut demander une licence au Nigeria et au Ghana, mais que les régulations y sont très différentes. Il ajoute que le Gambling Regulator Africa Forum (GRAF) pourrait contribuer à faciliter la standardisation des cadres de licences ainsi que la coordination transfrontalière. Il estime que jusqu’aux deux tiers de l’industrie seraient composés d’opérateurs illégaux ou non régulés, ce qui compromet la protection des consommateurs et les standards de jeu responsable. Pour les joueurs, il devient difficile de distinguer les sites légaux des sites illégaux. Il affirmait que si le secteur opérait correctement, les gouvernements ne perdraient pas entre 2 et 5 milliards de dollars par an en impôts non perçus à cause du marché noir. Coûts bancaires élevés et impact sur le développement Les opérateurs sont confrontés à des frais bancaires élevés, qui freinent l’expansion et l’accessibilité. Betway, par exemple, envisage d’adopter les paiements en crypto pour atténuer ces coûts et attirer de nouveaux joueurs. Kesitilwe confirme que les monopoles des agrégateurs de paiement et les frais élevés constituent un frein majeur au secteur. « Certaines régions restent très coûteuses à cause de monopoles autour des solutions de paiement. Grâce au dialogue et à la recherche, nous cherchons à résoudre ces problèmes. » Expertise réglementaire au service de l’industrie Fort de son expérience à la tête de la Botswana Gambling Authority, Kesitilwe estime que son savoir-faire technique bénéficie directement à l’AIA. Il possède une connaissance approfondie des questions de conformité, de lutte contre le blanchiment d’argent (AML/CFT) et de jeu responsable. Il a également souligné qu’il pouvait apporter un regard réglementaire sur la manière dont les gouvernements considéraient la conformité, la législation et la crédibilité des régulateurs, en ajoutant que son rôle consistait à combler le fossé entre l’industrie et les autorités.
QTech Games mise sur Mayorova pour booster l’expansion

QTech Games, l’un des principaux agrégateurs de jeux en ligne, vient d’annoncer une nouvelle étape dans son développement stratégique. L’entreprise a désigné Ekaterina Mayorova comme responsable des ventes et des comptes pour les marchés émergents, avec un accent particulier sur l’Afrique et l’Europe de l’Est. Cette décision marque une volonté claire de renforcer sa présence sur ces territoires en pleine expansion et de dynamiser ses relations commerciales avec les opérateurs locaux. Ekaterina Mayorova, un atout pour l’expansion internationale de Qtech Avec cette nomination, QTech Games se dote d’une figure expérimentée pour piloter sa croissance dans les régions stratégiques. Ekaterina Mayorova arrive avec un solide bagage acquis au sein de Trustly et PandaScore, deux sociétés réputées dans les secteurs de la fintech et de l’e-sport. Elle y a développé une expertise en gestion de comptes, en business development et en partenariats à l’échelle internationale. Chez QTech Games, elle sera chargée de superviser les relations avec les partenaires existants, de développer de nouvelles opportunités commerciales et de mettre en œuvre des stratégies pour renforcer la position de l’entreprise. L’Afrique, marché en plein essor dans le domaine de l’iGaming, constitue l’un des axes prioritaires de cette mission, aux côtés de l’Europe de l’Est. Réactions du PDG et d’Ekaterina Mayorova La nomination d’Ekaterina Mayorova a suscité des commentaires enthousiastes de la direction de QTech Games. Philip Doftvik, PDG de la société, a souligné que l’arrivée de cette nouvelle responsable constituait un renfort stratégique majeur. Il a salué sa capacité à s’intégrer rapidement à l’équipe et à comprendre les spécificités des marchés ciblés. Selon lui, son expérience et son réseau dans les territoires clés représentent un avantage déterminant pour étendre la présence de QTech en Afrique. L’entreprise ambitionne de faire de ce continent une part significative de son chiffre d’affaires dans les prochaines années, tout en bâtissant une marque forte et reconnue. De son côté, Ekaterina Mayorova s’est dite enthousiaste à l’idée de rejoindre QTech Games. Elle a mis en avant la richesse de l’offre de l’entreprise, qui propose l’une des plateformes de contenu les plus modulables et les mieux adaptées aux marchés émergents. Elle a également insisté sur la culture d’entreprise collaborative et la qualité des équipes, qu’elle considère comme un moteur de réussite. Forte de son expérience dans l’iGaming, l’e-sport et la fintech, elle se déclare prête à relever le défi de proposer des solutions innovantes aux marchés les plus dynamiques du secteur. Pour elle, l’Afrique occupe une place particulière, et elle se réjouit de contribuer à la croissance de QTech en y nouant des partenariats solides et en travaillant aux côtés d’opérateurs avant-gardistes. QTech Games, un pionnier de l’agrégation de jeux Fondé il y a dix ans, QTech Games s’est imposé comme l’agrégateur de jeux de référence pour les marchés émergents. La société détient une licence B2B de Curaçao et mise sur une approche axée sur le mobile pour offrir aux joueurs une expérience fluide et intuitive. Sa plateforme se distingue par ses outils avancés de recherche et de filtrage, un moteur de recommandations alimenté par l’intelligence artificielle et un tableau de bord ergonomique permettant aux opérateurs de maximiser l’engagement des utilisateurs. Pour marquer son 10e anniversaire, QTech Games a réaffirmé son ambition de consolider son leadership. L’entreprise continue d’enrichir son catalogue avec des jeux de casino innovants et d’accélérer le déploiement de sa solution QTech Hybrid sur les marchés en développement. Présente en Asie, en Afrique, dans les pays de la CEI, en Europe et en Amérique latine, elle est aujourd’hui considérée comme une véritable puissance mondiale de l’agrégation de contenu iGaming. Vers une nouvelle phase de croissance Avec l’arrivée d’Ekaterina Mayorova, QTech Games confirme sa stratégie offensive sur les marchés émergents. L’entreprise entend capitaliser sur son portefeuille localisé et ses technologies de pointe pour répondre aux attentes spécifiques des joueurs et des opérateurs. Cette nomination illustre sa volonté de consolider ses relations avec les acteurs clés du secteur et de rester en tête dans un environnement hautement concurrentiel.
Booming Games rejoint Odibets pour l’expansion régionale

Odibets a récemment signé un partenariat stratégique avec Booming Games pour renforcer son catalogue de jeux dans la région de l’Afrique de l’Est. Cet accord prévoit que l’opérateur intègre l’ensemble des machines à sous HTML5 du fournisseur sur sa plateforme. Basé au Kenya, Odibets agit comme un acteur majeur des jeux d’argent en ligne dans ce pays, tandis que Booming Games est reconnu comme l’un des meilleurs fournisseurs B2B de jeux de casino. En collaborant, les deux entreprises cherchent à étendre leur présence régionale, proposer davantage de contenus variés et offrir une meilleure expérience de jeu mobile aux utilisateurs. Nouveaux titres de Booming Games accessibles via Odibets Grâce à ce partenariat, les joueurs d’Odibets auront accès à plus d’une centaine de titres signés Booming Games, tous adaptés aux appareils mobiles grâce à la technologie HTML5. Parmi les jeux désormais disponibles figurent Burning Classics, Buffalo Hold and Win Extreme, 64 Gold Coins Hold and Win et Cash Pig. Cette offre élargie contribue à la stratégie d’Odibets visant à diversifier son contenu, notamment en fournissant des expériences immersives pour les utilisateurs de smartphones. Du côté de Booming Games, cette collaboration s’inscrit dans une volonté claire de se développer en Afrique, et plus précisément dans des marchés réglementés dans l’Est du continent, comme le Kenya. Odibets projette également d’étendre ce partenariat à d’autres territoires comme le Rwanda ou le Burundi. A ce jour, les titres de Booming Games sont déjà opérationnels pour les joueurs kenyans via la plateforme d’Odibets. Un accord vivement salué par les dirigeants Les dirigeants des deux entreprises ont exprimé leur enthousiasme à l’annonce de cette coopération. Solomon Godwin, responsable pour l’Afrique chez Booming Games, a affirmé qu’ils sont « très heureux de s’associer à Odibets, une marque solide et réputée en Afrique de l’Est », soulignant que ce deal leur permet de porter leur catalogue vers des marchés dynamiques et porteurs. Il pense que leur contenu sera bien accueilli par les joueurs et qu’une collaboration fructueuse est à venir. De l’autre côté, Benedict Murithi, qui supervise le marketing chez Odibets, a déclaré que ce partenariat offre une possibilité de fournir un divertissement de haut niveau aux utilisateurs. Il a précisé que le catalogue varié de machines à sous de Booming Games correspond parfaitement aux attentes de leur vision pour enrichir l’offre de jeux. Il se félicite déjà de ce que cette alliance va représenter pour l’avenir de leurs services de jeux. À propos de Booming Games et Odibets Booming Games est un fournisseur B2B de contenus de jeu, spécialisé principalement dans les machines à sous vidéo. Créée en 2014, l’entreprise est basée sur l’île de Man avec des bureaux et activités dans plusieurs régions du monde. Elle développe des jeux en HTML5 qui fonctionnent sur mobile comme sur desktop, dispose d’un RGS (Remote Gaming Server), d’outils promotionnels, et d’intégration de portefeuille via API pour faciliter l’accès des opérateurs. Elle est autorisée dans plusieurs juridictions réputées et traduit ses jeux en plusieurs langues pour s’adapter au marché global. Odibets, quant à lui, est un opérateur kenyan de jeux en ligne lancé en 2018, appartenant à Kareco Holdings Ltd. Il offre des paris sportifs mais aussi des jeux de casino, avec licences délivrées par le Betting Control and Licensing Board du Kenya. La plateforme propose une application mobile compatible avec Android et iOS, des promos variées, ainsi que des fonctions de pari en direct. Odibets vise à respecter les régulations locales, assurer la sécurité des transactions, et satisfaire les joueurs en offrant une interface intuitive et une diversité de contenus. Conclusion Cette alliance entre Booming Games et Odibets marque une étape importante dans la stratégie de développement international du fournisseur, tout en consolidant l’engagement d’Odibets à améliorer l’expérience de ses utilisateurs grâce à l’ajout de contenu externe de qualité. En renforçant leur collaboration, les deux sociétés posent les bases d’une expansion plus large en Afrique de l’Est, dans des marchés réglementés, avec une offre de jeux variée et optimisée pour le mobile.
Allwyn : un modèle de protection pour le marché africain

Le groupe international Allwyn a récemment lancé « Player Protection Lab », un programme dédié à la sécurité et au jeu responsable. Cette initiative, qui s’étend à l’échelle mondiale, collabore avec chercheurs et universitaires pour développer des solutions innovantes de prévention. L’appel à projets, ouvert jusqu’au 14 novembre, se concentre sur trois axes principaux : stimuler l’innovation digitale, utiliser la communication pour encourager un comportement de jeu positif, et concevoir des outils de protection efficaces. Pour les opérateurs africains et les acteurs locaux, ce laboratoire offre une source d’inspiration. Alors que le marché du jeu en ligne en Afrique francophone croît rapidement, avec une forte adoption du mobile et des solutions de paiement comme M-Pesa ou Orange Money, des programmes comme celui d’Allwyn montrent comment la technologie peut concilier divertissement et sécurité. Les projets retenus recevront un financement pouvant atteindre 100 000 €, en fonction de leur envergure et de leur pertinence, permettant de créer des solutions concrètes et applicables sur d’autres territoires, y compris en Afrique. Vers un encadrement plus sûr des joueurs en ligne Cette initiative s’inscrit dans la continuité des actions déjà menées par l’entreprise, comme la campagne mondiale « Play the Right Way », qui encourage l’usage d’outils limitant les dépenses et renforçant la maîtrise du jeu. Nicole Garrett, responsable du jeu responsable chez Allwyn, a indiqué que l’objectif était de générer de nouvelles idées capables de renforcer la protection des joueurs et de s’inspirer des pratiques d’autres secteurs. Pour le marché africain, où les régulations sont encore en développement dans plusieurs pays francophones, ce type de démarche constitue un exemple concret. Il illustre la nécessité d’accompagner la croissance du secteur avec des mesures de sécurité et des outils pédagogiques adaptés, afin de préserver les joueurs tout en favorisant le développement économique et technologique. Transformations stratégiques et opportunités locales Allwyn ne se limite pas au jeu responsable. Le groupe a entrepris des transformations importantes pour améliorer l’expérience client, telles que la modernisation de la loterie nationale et l’installation de milliers de terminaux. Sur le plan numérique, l’entreprise a acquis une participation majoritaire dans Novibet et consolidé son contrôle sur Stoiximan, renforçant son expertise dans les paris en ligne et les jeux numériques. Ces évolutions offrent des perspectives intéressantes pour l’Afrique francophone. Les opérateurs locaux peuvent s’inspirer de ces stratégies pour développer leurs propres plateformes, renforcer la sécurité et attirer davantage de joueurs grâce à des outils innovants. L’exemple d’Allwyn montre également que le marché peut croître tout en respectant des standards élevés de protection et d’intégrité. En nommant Kresimir Spajic à la tête de sa division digitale, Allwyn confirme son engagement envers l’innovation et la diversification des services, un modèle que les acteurs africains peuvent observer pour anticiper les tendances et adapter leurs offres à une clientèle de plus en plus connectée et exigeante.
Planet Sport localise ses services pour l’iGaming canadien

Le marché du jeu en ligne canadien traverse une période de croissance accélérée, portée par la légalisation progressive et l’explosion du nombre de joueurs connectés. Dans ce contexte, Planet Sport, spécialiste mondial des médias sportifs, annonce l’introduction d’un service inédit destiné au marché francophone du pays. L’entreprise entend offrir des prestations de traduction et de localisation en français canadien, adaptées aux spécificités culturelles et linguistiques du territoire. Cette initiative vise à soutenir les opérateurs, les fournisseurs ainsi que les affiliés actifs dans l’univers de l’iGaming, afin de les aider à exploiter pleinement le potentiel colossal du marché canadien. Planet Sport répond aux besoins des acteurs de l’iGaming canadien Pour renforcer la proximité avec les joueurs et accroître leur compétitivité, Planet Sport met en place un service de contenu localisé spécialement pensé pour les acteurs du jeu en ligne au Canada. Ce dispositif inclut la traduction professionnelle en français canadien de divers supports : messages relatifs au jeu responsable, guides explicatifs, informations sur les dépôts et retraits, ou encore conditions d’autorisation liées aux paris sportifs et aux casinos en ligne. Parallèlement, l’entreprise propose de développer des extraits localisés optimisés pour le référencement, parfaitement adaptés aux attentes des affiliés et des opérateurs. Des phrases telles que « Votre référence pour les paris sur le football » ou « Cotes et conseils pour le marché canadien » illustrent la capacité de Planet Sport à fournir un contenu calibré pour séduire un public précis. Au-delà des traductions classiques, des actualités contextualisées et orientées SEO viendront enrichir l’offre, garantissant une visibilité accrue sur les moteurs de recherche. Chaque texte sera pris en charge par des traducteurs humains, connaissant à la fois la terminologie du secteur et les subtilités linguistiques du français canadien. Les précisions d’Andrew Morgan Afin de clarifier l’ambition de ce projet, Andrew Morgan, responsable du contenu international chez Planet Sport, a partagé quelques éléments de contexte. Selon lui, le Canada est en train de s’imposer comme l’un des marchés les plus dynamiques au monde dans le secteur des paris, particulièrement depuis l’ouverture de l’Ontario. Pour se démarquer dans cet environnement compétitif, les opérateurs et affiliés doivent impérativement adapter leurs offres aux spécificités locales. Morgan insiste également sur un point essentiel : plus de sept millions de Canadiens parlent le français comme langue maternelle, ce qui impose une localisation fidèle et soignée des contenus. Pour lui, seule une approche humaine et experte peut garantir la pertinence et la qualité des traductions, bien au-delà des solutions automatisées. Enfin, il conclut que l’intégration du français canadien au portefeuille linguistique de Planet Sport représente une avancée stratégique majeure, et qu’il se réjouit de collaborer avec les opérateurs désireux d’exploiter ce marché prometteur. Planet Sport, un groupe en constante évolution Fondée au Royaume-Uni, Planet Sport s’est imposée au fil des années comme un acteur incontournable de l’information sportive. Présente à la fois sur le segment B2C, avec des plateformes grand public couvrant l’actualité de disciplines variées, et sur le segment B2B, où elle fournit des services de contenu à de nombreux partenaires de l’industrie, la société a su élargir son champ d’action à l’échelle internationale. Elle développe aujourd’hui des solutions de diffusion numérique, des prestations de localisation et des produits éditoriaux spécialisés. Son expertise s’étend aux paris sportifs, aux casinos et à d’autres verticales liées à l’iGaming. En diversifiant ses activités et en multipliant ses partenariats, Planet Sport démontre sa volonté de rester à la pointe des évolutions de l’industrie du jeu et des médias numériques. Conclusion La création de ce nouveau service de traduction en français canadien découle directement des besoins exprimés par les clients de Planet Sport. Le lancement intervient dans un contexte particulièrement favorable, marqué par l’ouverture de l’Ontario au jeu en ligne légal depuis avril dernier. Cette province compte déjà plus d’un demi-million de locuteurs francophones, tandis que le Québec en regroupe plus de sept millions. Grâce à l’accompagnement de Planet Sport, les opérateurs, fournisseurs et affiliés actifs sur le marché canadien peuvent désormais proposer des produits et des services soigneusement localisés. Une adaptation linguistique et culturelle qui s’impose comme un levier incontournable pour séduire et fidéliser une clientèle exigeante.

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